<script src="http://www.google-analytics.com/urchin.js" type="text/javascript">

</script>

<script type="text/javascript">

_uacct = "UA-233844-2";

urchinTracker();

</script>

retour 
La vie se sert de son système de contrôle, nommé par certains « la mort ».
La mort un tabou, mème tissé, comme un ruban de möbius.
La pensée ne souffrirait-elle pas d'un « défaut » de fabrication ?


Filiations : …/… / … / …

Pour certains alchimistes :
La vie est une idée de la matière, consciente de son entropie.
L'humain, conscience de sa conscience.
La quête de la question :
_ « Y a-t-il une issue à l'entropie ? »,
_ la réponse a été exprimée par le vivant, collectivement et individuellement. Les réponses ne 
sont pas faites pour « nous plaire » individuellement car le collectif a le monopole ( fondation de 
l'autorité ) de la réponse. 
Je signale le détournement de sens, l'usurpation pour raison de contrôle de ressources, du 
temps de maturation de ce questionnement. 
Ainsi démuni, à fond nous répondons au chant de sirène de fabricateurs/duplicateurs de 
mèmes, le prêt à mâcher, par un tour de passe-passe, au rayon denrée on habille l'animal de ce
je ne sait quoi de sympathique pour nous le présenter en tranches garantie par la traçabilité !
« Vous aimez ?. Mangez-en ! »        
Aurait-on fait une impasse sur l'acte de « rendre consommable » ?
Notre pensée pourrait être entachée de ce « défaut ».
La  fin de la croyance en l'immortalité, pas à l'ordre du jour pour une espèce omnivore.
Ce serait bien là un présupposé « douteux ». Ce mème, une porte dérobée à l'attention de 
l'auditoire, un
 « monde parfait » avec la même stupidité.

Si nous présupposons une « intention » à la matière, les règles physiques en seraient une 
expression, ce qui n'est pas absurde. La théorie quantique semblerait répondre à la question 
temporelle, et nos descriptions des atomes avec leurs couches électroniques …, ne rentrent-ils 
pas en résonance lorsqu'une « information » les traverse ? 
Et ce que nous rangeons sous l'étiquette « vivant » mèmes de la matière ?

Pour une séma-carte :

Matière \ Mèmes \ 
Codes biologiques \ Mèmes \
 Culture \ Mèmes \ 
Science – consciente \ Mèmes \ 

… \ … . 

Une boucle prodigieuse, dynamique pulsant  la mort/vie, autorégulée, 
Je rie de ma prétention à comprendre ! 
Écho de ce tout, onde alignée  pulsée répondant aux battements – rythmes d'un soleil, danse 
des planètes.

Si l'assemblée, des porteurs de mèmes,  mature, alors en M\éthique naîtra ……… .

Il semblerait que la mèmètique soit abordée du point de vue d'un processus sans fin.
Avec ses légions qui se déversent dans l'empire, il serait souhaitable de nuancer cette 
duplication. Cela voudrais-t-il dire qu'un mème soit doté d'une conscience de sa fin ?
La duplication jusqu'à atteindre le lieu de nidification/symbiose.

Cette agitation de surface est décrite comme un impératif biologique.
Mème égoïste, anthropomorphisme.

°oOo°O°oOo°O°oOo°O°oOo°O°oOo°

Dans les Forges de la Mémétique, ai trouvé cette poignée de mèmes.

Une interprétation « libre » des écrits de Dominique Bertrand trouvé à :
http://www.trouveurdor.com/

Reprenons l'hypothèse : 1 Hz (unité) / 1,618 Hz  résultat de la tension,
               //                    :  0,618 Hz (unité) / 1 Hz résultat de la tension,
  
               //                    : 1,618 – 1 = 0,618 Hz, nœud  
               //                    : 1 – 0,618 = 0,382 Hz, nœud 

Nous pouvons dessiner plusieurs lignes :
1 Hz une oreille (g), 15 ml seconde plus tard 1,618 Hz l'autre oreille (d),
on continue, 15 ml seconde plus tard 1 Hz (d) 15 ml seconde plus tard 1,618 Hz (g)

Pour donner une indication nous pouvons à chaque écoute de 1, 618 Hz émettre l'octave 
supérieure  3,236 Hz dans les deux oreilles ou une, l'opposée ? À tester  

Le but étant de tracer quelques trains d'ondes qui semblent « alignés » sur le fonctionnement 
neurologique, similitude acoustique.
Le « langage des trois cerveaux » commun, trois véhicules unifiés dans la résonance.

Le mode binaural semble une voie intéressante, mettant à contribution les deux aires 
Parlant / Imaginant. 
Tissage de la Parole.   

Imiterons nous le fonctionnement de cet organe qu'est le cerveau ?


Ce petit exercice anodin consiste à trier de l'impensable des éléments signifiants… !!!

Nous voulions associer l'impulsion du neurone : 15 ml seconde (66 Hz) à la fréquence 40 Hz du 
thalamus. Or un rapport : 66 / 40 ; 1,65 proche de 1,6, comme un possible à explorer.
 
(Je ne chercherais pas à vouloir faire dire aux chiffres ce qui ne sont pas, mais faire un relevé 
de quelques considérations.)
 
J'ai lié deux fréquences, deux sons, une boucle 40 Hz + une boucle 66 Hz
Je l'ai appelé son Suprême ( à titre provisoire pour focaliser mon attention)

J'ai cherché à dessiner la somme de 15 ml. / sec.+ 25 ml. / sec., 1000/40= 25 Hz

25 Hz difficilement audible (onde sinusoïdale)

Deux voies s'ouvrent, nous suivrons les deux.

La première (habitude ?), doubler la fréquence, 25(Hz) x 2 = 50 Hz, 25(Hz) x 3 = 75 Hz

La deuxième, délivrer à chaque hémisphère du cerveau deux sons dont la différence 
corresponde à 25 Hz.
75 Hz oreille gauche, 50 Hz oreille droite (partant de 75 Hz (somme) vers 50 Hz (écho), la 
conscience / attention effectue le contrôle et se retrouve dans la vague / onde 25 Hz générée 
par le dialogue des deux ….
Dans le berceau de l'éveil.

Ce qui me ramène aux forges des M\èmes d'Airain.
L'assemblée se connecte pendant 12,5 ml./ seconde.
Nous avons un évènement, périodique, qui dure 4 secondes, nous ne traçons pas 0,250 Hz.  
Temps de mise en mémoire, 
Il semblerait intéressant de ponctuer d'un signal d'introduction ou / et conclusion une boucle de 
80 Hz (12.5 ml./seconde), 160 Hz, 240 Hz, 320 Hz, etc
Le choix se porte sur 160 Hz pendant 125 mil. secondes  (octave 2, durée x 10)
Le son semble tourner, au centre d'une gigantesque roue, l'écoute.
Enfin l'interface humaine, le rythme.


N'émessance